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Le CEFRIO sort le NETendances «Divertissement en ligne : la webtélé prend son envol»
1L’art de la gestion de projet2Un projet à succès commence par une bonne gouvernance3Cascade, agilité, demandes de changement?

Le CEFRIO sort le NETendances «Divertissement en ligne : la webtélé prend son envol»

  • Niveau Technique
Stratégie d'affaires
Suite à notre contribution au NETendances: « L’engouement pour les médias sociaux au Québec », c’est avec un plaisir renouvelé que nous contribuons au volume 2 sur le divertissement en ligne.  Notre équipe de stratégie Internet a complété chacune des 5 thématiques par des avis d’experts sur les tendances du marché.

 

Nous vous présentons brièvement quelques résultats révélés dans ce dernier NETendances.

 

  • Internet et le jeu : La proportion des adultes québécois jouant à des jeux en ligne a augmenté de 44% entre 2005 et 2011. Marie Nicollet met en lumière l’engouement des jeux mobiles ailleurs dans le monde et comment leur commercialisation sur le mobile pourra changer la donne.
  • La webtélé et la webradio : Fait étonnant, ce n’est pas les jeunes internautes québécois qui obtiennent la plus grande proportion d’adeptes de la webtélé et de la webradio, mais bien les 35 à 44 ans avec 60%. Marie Nicollet s’attarde sur l’impact qu’à Internet sur la programmation classique des émissions radiophoniques ou télévisuelles.
  • Les vidéos et les photos en ligne : Le visionnement de vidéos reste l’activité la plus populaire des internautes québécois avec 54%, tandis que leur diffusion reste encore une activité bien marginale avec 11%.  Je propose que l’utilisation du téléphone intelligent couplé à l’utilisation des réseaux sociaux aient un impact majeur sur la diffusion et la consommation de photos et de vidéos sur Internet.
  • Le téléchargement de musique : C’est sans surprise que l’écart reste grand entre le téléchargement de musique gratuite et payante (6%). En effet, 23% des internautes québécois téléchargeaient de la musique gratuite seulement et uniquement 17%  téléchargeaient de la musique payante. J’insiste sur la banalisation de l’offre musicale du consommateur comme principal argument expliquant cet écart.
  • Le livre numérique : Malgré que la proportion des internautes québécois téléchargeant des livres numériques ait doublé en 1 an, ce comportement reste marginal avec 8%. Amanda Piedimonte rappelle que les éditeurs de contenus ne doivent pas que ce concentrer à une diffusion numérique de leur contenu, mais à maximiser l’expérience du lecteur.

Pour plus de données sur le divertissement en ligne au Québec, téléchargez gratuitement le fascicule «Divertissement en ligne : la webtélé prend son envol» sur le site du CEFRIO.